Finalement, Cyberpunk 2077 souffre surtout d’une dichotomie promotionnelle. Mais avant d’employer des termes peu gracieux, tentons de disséquer le titre qui nous intéresse pour mieux le comprendre.

Commençons par le commencement (non) et allons à l’essentiel (encore moins). J’ai adoré, que dis-je, je me suis délecté de chaque instant passé en compagnie de Cyberpunk 2077… et The Outer Worlds.

Dans Hideo Kojima il y a Hide qui signifie "cacher" et ça tombe bien, Hideo Kojima est l’inventeur du jeu d’infiltration. Serait-ce un hasard ? En fait pas vraiment. Je m’explique :

Prey c’est comme un gros cheeseburger. Y'a écrit Half-Life sur la boîte, il a la forme de Bioshock et l'odeur de Portal mais c'est quand vous mordrez dedans que vous devinerez sa nature. Explication.

Alors, The Evil Within c’est un jeu de Shinji Mikami, le créateur de Resident Evil. Du coup à sa sortie tout le monde s’est dit "Super ! Un nouveau Resident Evil !". Eh bah non. Explications :

Dragon Ball Xenoverse 2 c’est un peu tout le contraire de Street Fighter V à sa sortie mais c’est pas seulement pour ça que le jeu m'a bien plu. Je m’explique.

Dying Light c’est un peu le Skyrim du jeu de zombies. Ouais, vous avez bien lu. Enfin attention ! à quelques vaches près quand même, faut pas déconner. Mais attendez, je m’explique :

Alan Wake c’est un peu comme une jolie fille avec un magnifique t-shirt « I ❤ Stephen King » qui t’explique qu’elle adore cet écrivain mais surtout ses films. Aie !

Resident Evil 7 c’est comme un œuf Kinder. C’est beau, c’est rond, c’est bon mais le jouet à l’intérieur il est tout pourri. Je m’explique.

Alors cette édition spéciale ? Dispensable ou indispensable ? Et bah en fait la réponse ne peut venir que de vous. Je m’explique :